Flames of misery

Candles of oblivion

Flames of misery
Dans l'obscurité de ces ténèbres,
Se dressa devant moi un sinistre château,
Dont les pierres on été rongées par le salpêtre,
Il s'avança au travers du sol gorgé d'eau

Et m'ouvrit grand ses portes en guise d'invitation,
Afin que je sache pourquoi il est délaissé.
Son maître ayant succombé à la tentation,
Ses murs sont à présent tristement désolés

Et dégagent une forte odeur de putréfaction
Que est telle qu'elle m'inspire le plus profond dégoût.
J'entendais un long murmure de désillusion,
Une sensation de malaise qui me rendant fou.

Ce lieu était indéniablement possédé,
Je percevais la présence d'âmes tourmentées
Qui m'enlacent et voulaient m'attirer à elles,
Bien que je ne voulais pas devenir pareils.

Les seules lumières au milieu de tous ces fantômes
Etaient celles, vacillantes, de vielles chandelles usées,
Tombées dans l'oubli comme ces esprits perturbés
Qui vivent dans l'ombre de l'immortalité du Trône

Celui auquel seuls les hommes purs peuvent accéder
Les autres, comme ces spectres, sombrent dans le néant
Et ils sont dominés jusqu'à la fin des temps,
Réduits en esclavage en étant enchaînés.

Le maître des lieux m'exhortait à les suivre,
Car ils cherchent à être nombreux pour se consoler
Je soufflai sur les chandelles, ce qui les fit fuir,
Retourner dans les abîmes pour l'éternité.

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